Juin 1988, une nouvelle stupéfiante tombe sur les téléscripteurs : une romancilre américaine écrit la suite d'Autant en emporte le vent .
Offusqué, Jean-Loup Chiflet n'en croit pas ses oreilles. Peut-on violer ainsi la mémoire de Margaret Mitchell qui s'était toujours refusée, il y a quarante ans,
i imaginer une suite aux amours tumuftueuses de Rhett et de Scarlett?
Jean-Loup Chiflet déeide alors de contre-attaquer avec son arme préférée : I'humour. Pour fustiger les profanateurs de sépultures littéraires et leurs érnules, il donne une fin i trente-cinq de ses oeuvres fétiches pour protéger ir jamais la mémoire de leurs génies créateurs. Certes, il n'y va pas par quatre chemins lorsqu'il imagine Aramis en curé de choc ou les amours coupahles de M. Bovary avec M. de Rénal...
Mais Jean-Loup Chiflet a pensé i tout : pour ceux qui, distraits ou en panne de mémoire, auraient "raté le début", il est redevenu presque sérieux pour donner un résumé des euvres choisies.